Léa et le corbeautruchemise 
A Saint Etienne de Tulmont vivait une petite fille.
Elle s’appelait Léa et avait neuf ans. C’était une fille très mignonne, aux yeux bleus et aux cheveux châtains clairs qu’elle attachait toujours en queue de cheval et qu’elle coiffait d’un chapeau rouge. Elle était aussi très gentille et maligne. En plus, elle n’était vraiment pas peureuse ! Elle possédait des pouvoirs qui lui permettaient de courir très vite. Elle avait un jeune chiot, Doudou, très gentil, qui l’accompagnait partout. Il était noir et blanc et courait vite. Il ne voyait pas plus haut que les genoux et seulement en noir et blanc.
Un jour, une météorite venue de l’espace tomba sur le Lac du Tordre. Cela provoqua une très grosse sècheresse. Les arbres tombèrent, les animaux et les plantes moururent car il n’y avait plus ni à manger ni à boire. Les hommes manquèrent de plus en plus d’oxygène et il ne leur resta plus qu’une bouteille d’eau chacun.
Alors, Léa et les habitants de Saint Etienne de Tulmont, affaiblis, s’installèrent à côté des puits, près du lavoir ou le long de la Tauge dans des caravanes et des tentes.
Si bien que Léa décida d’aller voir son grand- père pour lui demander conseil :
« Bonjour grand-père, que puis-je faire d’après toi pour sauver le village ?
- Je ne peux pas être d’un grand secours pour toi ma fille, mais si tu trouves le corbeautruchemise, cet animal magique, je crois qu’il pourra t’aider…
- Où se trouve t-il ?
- Je ne sais pas. J’en ai entendu parler il y a très longtemps et je sais qu’il a des pouvoirs…
- Merci grand-père ! »
Aussitôt Léa alla au lavoir et rencontra la dame blanche. C’était un personnage qui traînait depuis très longtemps sur la région du Quercy mais qui ne faisait plus très peur. Elle avait une robe en coton, des cheveux couleur de riz, et même son corps était couleur pâquerette. On la reconnaissait de loin à ses boucles d’oreilles qui brillaient nuit et jour, comme la neige. En outre elle se déplaçait sur le dos d’un mouton !
Léa dit :
« Bonjour madame, connaissez-vous le corbeautruchemise ? »
La dame blanche lui répondit :
« Oui, je connais le corbeautruchemise.
- Savez-vous où il habite ?
- Il va falloir que tu ailles dans la forêt interdite, au fin fond de la forêt de Tulmont. Là se trouve le corbeautruchemise. Mais attention, il y a des loups… »
Léa partit dans la forêt interdite. C’était une forêt où l’on pratiquait l’ultimate. C’était un lieu où il y avait beaucoup de lapins. Au milieu se trouvait une vieille baraque pleine de loups-garous dont un était très gentil. Il avait des poux, il était roux et surtout casse-cou. Il vivait dans une cabane en forme d’igloo. Il mangeait des hiboux et des choux. Ce dernier lui dit que la dame Blanche lui avait menti. Bref Léa était allée dans la forêt pour rien.
Tout à coup Léa eut une autre idée : elle se dit que c’était peut-être Roméo, le patron de l’usine d’embouteillage d’eau, qui avait capturé le corbeautruchemise. Si les habitants restaient sans eau, cela l’arrangeait, car il pourrait continuer à vendre ses bouteilles. Roméo avait 31 ans, il avait de grands yeux bleus mais un visage très méchant et il était toujours habillé tout en noir avec une salopette.
Léa entra dans l’usine, dans la pièce numéro trois. Elle vit le patron de l’usine et lui demanda :
« Où est le corbeautruchemise ?
- Je ne sais pas.
- Alors donne-nous au moins un peu d’eau ! »
Mais le patron alluma des pièges. Des murs se déplacèrent, le sol s’ouvrit et des serpents sortirent des cages. Le chien fidèle de Léa, Doudou, arriva en courant et appuya sur le bouton pour arrêter tous les pièges. Malheureusement le corbeautruchemise n’était pas dans l’usine.
Léa alla au Lac du Tordre. Sur le chemin, elle ramassa des girolles. Elle rentra pieds nus dans le lac où il restait un peu d’eau. Elle commençait à enlever des pierres autour de la météorite quand soudain elle vit une grosse pieuvre : la pieuvre Cracken.
C’était une pieuvre géante qui venait des mers et qui ne vivait que le jour. Elle était très vive et mangeait tout ce qu’elle croisait. Elle rongeait même les bateaux qui avaient coulé avec la chair des requins.
Léa utilisa ses champignons pour l’appâter puis se battit de toutes ses forces contre elle. Elle prit des algues pour ligoter la pieuvre qu’elle arriva enfin à immobiliser. Léa lui ouvrit la bouche, l’odeur était insupportable et elle empestait le poisson frais ! Elle vit tout de suite le corbeautruchemise.
Il cassa la météorite en mille morceaux avec son puissant bec. Il avait une chemise avec laquelle il fit un énorme baluchon qu’il porta dans son bec.
Léa et son chien aidèrent le corbeautruchemise à enlever la météorite.
« Cela n’a pas été facile de ramasser toutes ces pierres », dirent-ils.
Finalement Roméo et la dame blanche allèrent en prison. La pieuvre aida le corbeautruchemise à ramasser les pierres et creusa un tunnel jusqu’à la nappe phréatique pour faire revenir l’eau. Le loup-garou les aida aussi. C’est ainsi que tous les habitants de Saint Etienne de Tulmont retrouvèrent l’eau. Ils remercièrent Léa et ses amis. Ils vécurent tous très heureux.
Elodie, Marine, Quentin, John, Jérémy, Louis, Hugo, Sébastien, Charlène, Alexiane, Deelan, Nathan, Nicolas, Anne, Léna, Andréa, Océane, Ludwig, Laurie, Marjorie, Manon, Théo, Ambre, Martin, Paul, Marie-Laure, Camille et Thomas, élèves de la classe de CM de Melle CORDIER.
Elle s’appelait Léa et avait neuf ans. C’était une fille très mignonne, aux yeux bleus et aux cheveux châtains clairs qu’elle attachait toujours en queue de cheval et qu’elle coiffait d’un chapeau rouge. Elle était aussi très gentille et maligne. En plus, elle n’était vraiment pas peureuse ! Elle possédait des pouvoirs qui lui permettaient de courir très vite. Elle avait un jeune chiot, Doudou, très gentil, qui l’accompagnait partout. Il était noir et blanc et courait vite. Il ne voyait pas plus haut que les genoux et seulement en noir et blanc.
Un jour, une météorite venue de l’espace tomba sur le Lac du Tordre. Cela provoqua une très grosse sècheresse. Les arbres tombèrent, les animaux et les plantes moururent car il n’y avait plus ni à manger ni à boire. Les hommes manquèrent de plus en plus d’oxygène et il ne leur resta plus qu’une bouteille d’eau chacun.
Alors, Léa et les habitants de Saint Etienne de Tulmont, affaiblis, s’installèrent à côté des puits, près du lavoir ou le long de la Tauge dans des caravanes et des tentes.
Si bien que Léa décida d’aller voir son grand- père pour lui demander conseil :
« Bonjour grand-père, que puis-je faire d’après toi pour sauver le village ?
- Je ne peux pas être d’un grand secours pour toi ma fille, mais si tu trouves le corbeautruchemise, cet animal magique, je crois qu’il pourra t’aider…
- Où se trouve t-il ?
- Je ne sais pas. J’en ai entendu parler il y a très longtemps et je sais qu’il a des pouvoirs…
- Merci grand-père ! »
Aussitôt Léa alla au lavoir et rencontra la dame blanche. C’était un personnage qui traînait depuis très longtemps sur la région du Quercy mais qui ne faisait plus très peur. Elle avait une robe en coton, des cheveux couleur de riz, et même son corps était couleur pâquerette. On la reconnaissait de loin à ses boucles d’oreilles qui brillaient nuit et jour, comme la neige. En outre elle se déplaçait sur le dos d’un mouton !
Léa dit :
« Bonjour madame, connaissez-vous le corbeautruchemise ? »
La dame blanche lui répondit :
« Oui, je connais le corbeautruchemise.
- Savez-vous où il habite ?
- Il va falloir que tu ailles dans la forêt interdite, au fin fond de la forêt de Tulmont. Là se trouve le corbeautruchemise. Mais attention, il y a des loups… »
Léa partit dans la forêt interdite. C’était une forêt où l’on pratiquait l’ultimate. C’était un lieu où il y avait beaucoup de lapins. Au milieu se trouvait une vieille baraque pleine de loups-garous dont un était très gentil. Il avait des poux, il était roux et surtout casse-cou. Il vivait dans une cabane en forme d’igloo. Il mangeait des hiboux et des choux. Ce dernier lui dit que la dame Blanche lui avait menti. Bref Léa était allée dans la forêt pour rien.
Tout à coup Léa eut une autre idée : elle se dit que c’était peut-être Roméo, le patron de l’usine d’embouteillage d’eau, qui avait capturé le corbeautruchemise. Si les habitants restaient sans eau, cela l’arrangeait, car il pourrait continuer à vendre ses bouteilles. Roméo avait 31 ans, il avait de grands yeux bleus mais un visage très méchant et il était toujours habillé tout en noir avec une salopette.
Léa entra dans l’usine, dans la pièce numéro trois. Elle vit le patron de l’usine et lui demanda :
« Où est le corbeautruchemise ?
- Je ne sais pas.
- Alors donne-nous au moins un peu d’eau ! »
Mais le patron alluma des pièges. Des murs se déplacèrent, le sol s’ouvrit et des serpents sortirent des cages. Le chien fidèle de Léa, Doudou, arriva en courant et appuya sur le bouton pour arrêter tous les pièges. Malheureusement le corbeautruchemise n’était pas dans l’usine.
Léa alla au Lac du Tordre. Sur le chemin, elle ramassa des girolles. Elle rentra pieds nus dans le lac où il restait un peu d’eau. Elle commençait à enlever des pierres autour de la météorite quand soudain elle vit une grosse pieuvre : la pieuvre Cracken.
C’était une pieuvre géante qui venait des mers et qui ne vivait que le jour. Elle était très vive et mangeait tout ce qu’elle croisait. Elle rongeait même les bateaux qui avaient coulé avec la chair des requins.
Léa utilisa ses champignons pour l’appâter puis se battit de toutes ses forces contre elle. Elle prit des algues pour ligoter la pieuvre qu’elle arriva enfin à immobiliser. Léa lui ouvrit la bouche, l’odeur était insupportable et elle empestait le poisson frais ! Elle vit tout de suite le corbeautruchemise.
Il cassa la météorite en mille morceaux avec son puissant bec. Il avait une chemise avec laquelle il fit un énorme baluchon qu’il porta dans son bec.
Léa et son chien aidèrent le corbeautruchemise à enlever la météorite.
« Cela n’a pas été facile de ramasser toutes ces pierres », dirent-ils.
Finalement Roméo et la dame blanche allèrent en prison. La pieuvre aida le corbeautruchemise à ramasser les pierres et creusa un tunnel jusqu’à la nappe phréatique pour faire revenir l’eau. Le loup-garou les aida aussi. C’est ainsi que tous les habitants de Saint Etienne de Tulmont retrouvèrent l’eau. Ils remercièrent Léa et ses amis. Ils vécurent tous très heureux.
Elodie, Marine, Quentin, John, Jérémy, Louis, Hugo, Sébastien, Charlène, Alexiane, Deelan, Nathan, Nicolas, Anne, Léna, Andréa, Océane, Ludwig, Laurie, Marjorie, Manon, Théo, Ambre, Martin, Paul, Marie-Laure, Camille et Thomas, élèves de la classe de CM de Melle CORDIER.